Archive pour la catégorie 'BON A SAVOIR!'

LES REGLES D’OR DE l’HYGIENE DENTAIRE

12 mars, 2009

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Les règles d’or de l’hygiène dentaire

Les caries et les maladies des gencives responsables de pertes dentaires et de soins douloureux et onéreux peuvent être prévenues par une hygiène quotidienne relativement simple. N’hésitez pas à demander conseil à votre dentiste.

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Même si nous sommes aujourd’hui plus respectueux de notre hygiène dentaire, quelques progrès sont encore possibles. Quels sont les règles indispensables à une bonne santé dentaire ?

Les dents, tu te brosseras après chaque repas

La plaque dentaire, dépôt blanchâtre où prolifèrent les bactéries, sont à l’origine des caries et des inflammations de la gencive. Comme elle se reconstitue en quelques heures, il est indispensable de l’éliminer par un brossage au minimum biquotidien. 

Une brosse à dents à poils souples, en nylon, tu choisiras et la chang eras tous les trois mois

Une brosse à dent dure risque de blesser les gencives et d’abîmer l’émail des dents. Une brosse à dents usée n’est plus efficace. Les brosses à dents électriques peuvent être avantageusement utilisées, à condition d’en changer régulièrement l’extrémité.

La bonne technique, tu utiliseras

Poser la brosse à dents inclinée à 45° à cheval sur les dents et la gencive et brosser en même temps les dents et la gencive, haut et bas de la mâchoire séparément, en allant de la gencive à la dent, avec un mouvement de rotation, pendant trois minutes.

Le brossage, tu compléteras par le fil de soie

L’utilisation d’un fil de soie dentaire, en complément du brossage permet d’éliminer la plaque dentaire sur les faces latérales des dents. Pour les personnes ayant les dents déchaussées ou des prothèses qui laissent des espaces inaccessibles à la brosse, il est important d’utiliser des bâtonnets ou des brossettes inter-dentaires; pour éliminer la plaque dentaire à la base des dents et stimuler la gencive. Les appareils à jet sont également utiles dans ces cas pour éliminer les débris alimentaires et masser les gencives.

Le dentiste, tu consulteras annuellement

Une visite annuelle chez le dentiste permet de détecter à temps des caries débutantes et sera l’occasion de pratiquer un détartrage, pour éliminer la plaque dentaire. Deux séances de détartrage sont remboursées par la sécurité sociale. Mais parfois davantage sont nécessaires. Si la plaque dentaire n’est pas détectée à temps, elle se développe en profondeur et forme une poche entre la base de la dent et la gencive, qui risque de provoquer, à la longue, un déchaussement des dents. A ce stade, un curetage sous anesthésie locale est nécessaire. Celui-ci n’est pas remboursé par la sécurité sociale (prix: 69 à 92 €uros par séance).

Attention aux enfants

Les dents de nos enfants sont fragiles et précieuses. Pour les préserver des caries et autres désagréments, voici quelques conseils pour leur garantir un sourire éclatant.

Les sillons dentaires de tes enfants, tu scelleras

A l’adolescence le risque de caries dentaire est particulièrement élevé. Dans 80 % cas, ces caries se développent dans les sillons des molaires. En coulant un film de résine synthétique fluide sur les sillons, il est possible de prévenir ces caries. Ce traitement peut être réalisé dès la sortie des premières molaires. Il est remboursé par la sécurité sociale jusqu’à l’âge de 14 ans.

A l’hygiène dentaire de tes enfants, tu veilleras

Les biberons d’eau sucrée ou de lait laissés au petit enfant le soir dans son lit font des ravages, en laissant se développer plaques dentaires et caries précoces. De même les bonbons sont à proscrire le soir. Chaque fois que possible, il faut préférer des bonbons ou chewing-gum sans sucre.

Des apports supplémentaires de fluor chez la mère, pendant la grossesse, et dans l’enfance peuvent être conseillés par le médecin pour renforcer les dents. Enfin, il est indispensable de faire connaître à l’enfant l’usage de la brosse à dents, dès l’âge de deux ou trois ans.

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HYPERTENSION ARTERIELLE

12 mars, 2009

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De très bonnes nouvelles

L’augmentation du nombre de patients traités pour hypertension

artérielle et l’intensification des traitements et la prise en charge

du risque cardiovasculaire, peuvent être mis en perspective avec la

forte baisse de la mortalité cardiovasculaire constatée en France

(-15 % entre 2000 et 2004).

 

Cette conclusion encourageante clôture le dernier rapport de la

Caisse Nationale d’Assurance Maladie sur la prise en charge de l’hypertension

artérielle.

Le message est fort et conforte celui de l’Organisation Mondiale de la

Santé : par une meilleure application sur le terrain des connaissances de la science et par un meilleur contrôle des chiffres tensionnels

de la population française, nous pourrons encore mieux

allonger l’espérance de vie, tout en préservant sa qualité. Ce

dernier point est essentiel car rien ne sert de vivre vieux si ces années

gagnées sont des années de dépendance ou de handicap.

Là encore, le traitement de l’hypertension artérielle apporte de

bonnes nouvelles. Les études récentes ont montré que la pression

artérielle de vos 50 ans va conditionner l’état de votre

cerveau et la qualité de son fonctionnement pour vos vieux jours.

C’est donc, en particulier pour ceux qui s’interrogent sur l’intérêt de

prendre un traitement quotidien, une excellente raison de le faire, afin

de tirer tous les bénéfices qu’apporte une hypertension artérielle bien

prise en charge.

 

 

Chaque matin, 10,5 millions de Français

prennent un médicament contre l’hypertension

artérielle. Pourtant, près de 20 % des plus de 50 ans

souffrent d’hypertension sans le savoir.

Cette pathologie ne fait que se développer

puisqu’elle touchera 1,5 milliard d’individus dans le

monde à l’horizon 2020.

Négligée, l’hypertension artérielle peut entraîner

des maladies réduisant l’espérance de vie de

plusieurs années : affections cardiaques (infarctus,

angine de poitrine), artérite (obstruction des

artères des jambes), insuffisance rénale qui aboutit

trop souvent à la dialyse mais aussi problèmes

cérébraux graves : accident vasculaire, démence.

L’allongement de la durée de vie s’accompagne

d’une augmentation du nombre de personnes

souffrant de troubles de la mémoire et de

démences.

On estime ainsi qu’il y a actuellement 20 millions

de personnes atteintes dans le monde et que se

chiffre sera multiplié par 4 dans 40 ans.

Un nouveau cas de démence est

diagnostiqué toutes les 7 secondes.

L’hypertension artérielle : une maladie fréquente

à prendre au sérieux

Vous êtes peut-être concerné…

!

L’hypertension artérielle négligée

provoque des maladies cérébrales

L’accident vasculaire cérébral

(ou AVC) provient, le plus souvent,

de la rupture d’une petite artère

dans une zone du cerveau (accident

hémorragique) ou de l’obstruction

d’une artère (on parle alors d’un

accident ischémique). Dans les

deux cas, la zone atteinte du

cerveau ne va plus fonctionner

normalement et provoquer une

paralysie, des difficultés à parler,

voire une perte de conscience.

L’hypertension artérielle négligée

rétrécit progressivement les petites

artères du cerveau et produit des

lacunes (infimes lésions cérébrales).

Leur multiplication dégrade le bon

fonctionnement du cerveau et

aboutit, à terme, à une perte

progressive de ses fonctions

essentielles, comme la mémoire et

le raisonnement.

Plusieurs études ont

récemment mis en évidence que

l’hypertension artérielle

créait un terrain favorable

à la maladie d’Alzheimer

et pouvait entraîner diverses

formes de démence.

Le cerveau est un des organes qui souffre le plus

d’un excès de pression artérielle. Cet excès peut provoquer

des maladies cérébrales.

L’accident vasculaire cérébral

Les troubles de la mémoire

et les démences

!

Aujourd’hui, de nombreux

traitements soignent

efficacement l’hypertension

artérielle. Ils ont démontré leur

efficacité depuis plus de 40 ans.

Le fait de traiter l’hypertension

permet d’éviter l’accident

vasculaire cérébral mais aussi

l’infarctus du myocarde.

Ainsi, la baisse de la pression

obtenue avec le traitement de

l’hypertension permet de diminuer

le risque d’accident vasculaire

cérébral de 50 % environ.

C’est également grâce à ces

médicaments qu’en France,

l’espérance de vie des hypertendus

traités est identique à celle de la

population non touchée.

Les découvertes récentes prouvent

que le traitement de l’hypertension

artérielle est aujourd’hui le seul

traitement reconnu pour prévenir

le risque de démence.

Le traitement de l’hypertension artérielle

protège le cerveau

Une méconnaissance des conséquences

de l’hypertension par les Français

 

1 Comment savoir si je suis hypertendu ?

Dans la plupart des cas, c’est le médecin

généraliste qui assure le dépistage et le traitement

de l’hypertension. Votre médecin référent sera à

même de vous soigner efficacement et de vous

orienter, si besoin est, vers des spécialistes.

Prendre l’avis d’un spécialiste (cardiologue,

néphrologue, hypertensiologue) pourra s’avérer

nécessaire si le traitement n’est pas efficace ou que

des complications surviennent.

Les bonnes questions à se pose

2Puis-je mesurer moi-même

ma pression artérielle ?

On a constaté que les patients pratiquant

l’automesure (en utilisant, chez eux, des appareils

disponibles en pharmacie) se soignent mieux et ont

une pression mieux contrôlée. L’automesure est

utile avant de prendre la décision de débuter un

traitement médicamenteux, en particulier chez les

personnes dont la tension est très variable.

En effet, les chiffres de la pression artérielle varient

au cours d’une même journée, selon les contraintes

physiques ou psychologiques

(ils sont souvent influencés par la seule présence du

médecin !). L’automesure n’est pas conseillée aux

patients anxieux ou d’un tempérament stressé.

3Quel appareil choisir pour

mesurer ma tension ?

Deux types d’appareils d’automesure sont

à votre disposition :

- les tensiomètres positionnés sur le bras :

ce sont les plus fiables et ils sont préconisés par la

plupart des médecins,

- les tensiomètres positionnés sur le poignet :

apparemment plus faciles à utiliser, ils sont d’une

manipulation plus délicate.

Les •••

Les chiffres obtenus peuvent être influencés

par le degré de fléchissement du poignet et la

position de la main par rapport au coeur.

Mesurer sa tension en se croisant les bras est un

bon moyen pour éviter les erreurs.

4Qui peut me conseiller ?

Votre pharmacien vous donnera tous les conseils

nécessaires à une bonne utilisation. Le recours à

l’automesure ne vous dispense pas de prendre très

régulièrement l’avis de votre médecin qui, lui seul,

pourra modifier le traitement en fonction des

chiffres que vous aurez mesurés.

Le •••

5 Puis-je interrompre mon traitement ?

Pour être efficaces, les traitements contre

l’hypertension doivent être scrupuleusement suivis,

tous les jours et sans interruption.

Pour éviter de vous trouver à court de

médicaments, organisez suffisamment tôt vos

rendez-vous chez le médecin afin de renouveler

l’ordonnance et achetez vos médicaments avant de

prendre le dernier comprimé.

Pour les maladies chroniques, les pharmaciens

ont désormais l’autorisation de renouveler une

ordonnance arrivée à son terme, dans

l’attente d’une visite chez le médecin :

cette disposition concerne les

médicaments contre l’hypertension.

 êtrTout savoir sur l’auto-mesure!

J’ai 50 ans et je suis en pleine forme.

J’aimerais pleinement profiter de ma famille et

de mes loisirs lorsque je serai à la retraite.

On vient de me trouver un peu de tension, 16/10.

Je ne ressens rien pourtant. Vieillir ne me fait pas

peur, tant que ma tête suit. Ce qui m’angoisse, c’est

la perspective de finir en chaise roulante, comme

mon père.

Les accidents cardiovasculaires comme l’attaque

cérébrale ne sont pas une fatalité. Il existe

aujourd’hui des moyens efficaces de les prévenir.

Garder une activité physique après 50 ans est

favorable pour prévenir de nombreuses maladies

cardiovasculaires, mais dans votre cas en plus,

prendre un traitement pour faire baisser la pression

artérielle est la meilleure garantie

pour prévenir les maladies que

vous redoutez. Votre médecin

traitant saura trouver la

prescription la plus adaptée

pour que les chiffres se

normalisent. Pour vous, ce sera

moins de 14/9. Attention, les

deux chiffres sont importants !

Le témoignage de Jean-Claude M.

La réponse du spécialiste

1 Traitez votre HTA

L’objectif est de revenir à une tension

aussi proche que possible de la

normale. Pour cela, il faut corriger des

erreurs éventuelles au niveau du mode

de vie, et souvent prendre un

médicament contre la tension que l’on

appelle un antihypertenseur.

2Comprenez l’importance de

traiter votre tension

quotidiennement

On ne sait pas encore guérir l’HTA.

Il n’est actuellement possible que de

faire baisser temporairement les

chiffres tensionnels grâce à des

médicaments antihypertenseurs dont

l’action est de courte durée.

3N’oubliez jamais de prendre

vos médicaments pour la tension

Dans la vie courante, il est bon de

prendre des habitudes liant la prise du

ou des comprimés à des activités

quotidiennes systématiques survenant

toujours à la même heure : brossage

des dents, repas, lecture du journal.

C’est très efficace pour éviter les oublis.

4Prenez-les à heure fixe

D’une part pour créer l’habitude, mais

aussi pour éviter une baisse du taux du

médicament dans le sang en cas d’inter -

valle trop important entre deux prises.

Les 7 conseils

pour bien vivre son hypertension

5Parlez à votre médecin des

éventuels effets secondaires

Tout médicament actif, c’est-à-dire

efficace, a un ou des effets

secondaires. Il est important d’en

parler à votre médecin plutôt que

d’interrompre le traitement de vousmême.

En effet, il pourra peut-être

diminuer les doses ou changer le

médicament.

6Si votre médecin vous le

prescrit, acceptez de prendre

plusieurs médicaments

antihypertenseurs, ou de changer

de traitement

Une association de plusieurs

médicaments peut être nécessaire si la

tension ne baisse pas suffisamment

avec un seul antihypertenseur.

7Adaptez votre mode

de vie à votre pathologie

Mangez peu salé, faites régulièrement

un peu d’exercice physique, essayez de

garder votre calme en toute situation

et arrêtez de fumer !

Ces comportements sont bénéfiques.

 

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LE DIABETE

12 mars, 2009

 

Qu’est-ce que le diabète?

Le diabète peut se définir comme une perte de contrôle à la hausse de la glycémie (sucre dans le sang). Chez l’être humain, une hormone est responsable d’empêcher la glycémie de s’élever dans le sang. Cette hormone s’appelle l’insuline.

Chez les patients souffrant de diabète, deux situations peuvent se produire:

  1. L’insuline est produite par le pancréas. Ce dernier peut diminuer ou arrêter la production de l’insuline. Dans ces situations, la glycémie augmente et la maladie du diabète apparaît.
  2. Dans d’autres situations, il s’agit d’une résistance à l’action de l’insuline au niveau cellulaire. L’insuline est nécessaire pour faire entrer le sucre dans les cellules. Cette résistance à l’action de l’insuline rend celle-ci moins efficace. Alors à ce moment, la glycémie monte et la maladie du diabète apparaît.

Le pancréas

Le sucre sanguin, soit le glucose, est une source principale d’énergie pour l’ensemble des cellules de l’organisme. Lorsqu’il augmente dans le sang, il devient moins disponible et cause ainsi une perte d’énergie globale pour l’ensemble des cellules.

Les symptômes du diabète peuvent se présenter de différentes façons: fatigue, difficulté de concentration, vision embrouillée, soif intense, miction fréquente, faim insatiable, possibilité de perte de poids, possibilité de faiblesse musculaire. Certains de ces symptômes ou l’ensemble de ces symptômes sont présents chez les patients qui souffrent de diabète au début de la maladie. Cependant, certains diabétiques présentent peu de symptômes. La maladie est alors dépistée lors d’un prélèvement sanguin.

Il existe différents types de diabète:

Diabète de type 1: Diabète juvénile

Le diabète de type 1 consiste en une perte de la production par des cellules particulières du pancréas (cellules Bêta ou cellules Langerhans) de l’hormone que l’on appelle l’insuline. L’âge du début peut varier de quelques mois de vie jusqu’à environ 35 ans. Les causes de cette perte de production d’insuline sont encore inexpliquées (virus ??, rejet, allergie). L’organisme du patient diabétique rejette par la formation d’anticorps, les cellules qui sont capables de produire l’insuline. Lors de cette perte de capacité de production d’insuline, le patient présente les symptômes qui ont été nommés ci-haut. Le diabète de type 1 représente 10% des patients diabétiques.

Diabète de type 2: Diabète de l’adulte (traitement du diabète de type 2)

Le diabète de type 2 ou le diabète de l’adulte est un diabète où la perte de contrôle à la hausse de la glycémie est souvent associée à de l’obésité avec une prédominance familiale. Ce diabète résulte du mélange d’une perte d’efficacité de l’insuline, et d’une baisse de sécrétion de l’insuline qui s’installe graduellement. Lorsque ce phénomène se produit, les symptômes mentionnés ci-haut apparaissent.

Diabète de type 3 (autres types):

Le diabète de type 3 est une maladie systémique autre qui apporte une destruction du pancréas. Cette pathologie peut être causée par des pancréatites chroniques, certaines réactions défavorables à des médicaments ou à un défaut familial typique de certains récepteurs responsables de l’efficacité de l’insuline. Il faut noter que le diabète de type 3 est beaucoup plus rare.

  1. Maladies génétiques:
    • Défaut de fonction des cellules Bêtas
    • Défaut de fonction de l’insuline

  2. Maladies du pancréas:
    • Pancréatite chronique
    • Fibrose kystique
    • Pancréatectomie post-traumatique
    • Hémochromatose
    • Néoplasie du pancréas
    • Pancréatopathie fibrocalculeuse

  3. Maladies endocriniennes associées au diabète:
    • Acromégalie
    • Hyperthyroïdie
    • Syndrome Cushing
    • Somatostatinome
    • Glucagonome
    • Aldostéronome
    • Phéochromocytome

  4. Maladies postinfection:
    • Rubéole congénitale
    • Infection à cytomégalovirus

  5. Maladies associées aux médicaments:
    • Vacor
    • Diazoxides
    • Pentamidine
    • Agents bêta 2 antagonistes
    • Acide nicotinique
    • Thiazine
    • Glucocorticoïdes
    • Dilantin
    • Hormones thyroïdiennes
    • Interféron-alpha
    • Diabètes gestionnels

Facteurs génétiques

Diabète de type 1

  • Risque faible: 0,3 % de la population en général;
  • Risque accru lorsque l’un des parents est atteint du diabète du type I: père 6 %,
    mère 2 %;
  • Risque accru lorsqu’un frère ou une soeur est atteint(e) du diabète du type I: 5 %;
  • Risque accru lorsqu’un jumeau identique est atteint du diabète du type I: 34 %.

Diabète du type 2

  • Risque très élevé: 5 % de la population en général, soit 1 personne sur 20;
  • 20 % des personnes de plus de 65 ans sont atteintes du diabète du type 2 et seule la moitié des cas sont diagnostiqués;
  • Risque accru lorsque l’un des parents est atteint du diabète du type 2: père 11,6 %,
    mère 13,9 %;
  • Risque accru lorsque les deux parents sont atteints du diabète de type 2: 28.1 %;
  • Risque accru lorsqu’un jumeau identique est atteint du diabète de type 2: de 60 %
    à 80 %.

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