Archive pour mars, 2009

HTA – GROSSESSE – TOXEMIE GRAVIDIQUE

19 mars, 2009

HTA – GROSSESSE – TOXEMIE GRAVIDIQUE

DEFINITION
10 % des femmes enceintes présentent au cours de la grossesse des chiffres tensionnels supérieurs à 14/9
La moitié d’entre-elles sont atteintes d’HTA essentielle, l’autre moitié d’une toxémie gravidique càd d’une HTA d’origine placentaire. Toutes doivent bénéficier d’un étroite surveillance. Une HTA essentielle peut évoluer vers une toxémie gravidique.

Voir également : HTA gravidique par le réseau Périnat Réunion :

TOXEMIE GRAVIDIQUE : UNE MALADIE DU PLACENTA REVELEE PAR L’HTA
Par cette hypertension, l’organisme maternel tente de compenser une mauvaise perfusion du placenta pour protéger le foetus. Le problème n’est donc pas de soigner l’HTA – qu’il est peut être même préférable de respecter – mais d’éviter à la mère et l’enfant la survenue de complications.
Elle reste une cause importante de mort et de complications materno-foetales.Il faut savoir la distinguer de l’hypertension arterielle essentielle ( assez souvent prééxistante mais pouvant être révélée ou découverte par la grossesse).

LE DIAGNOSTIC DIFFERENTIEL : HTA ESSENTIELLE OU TOXEMIE
Il va conditonner l’essentiel de la CAT

  • Classiquement, maladie de la première grossesse mais un nouveau « Papa » peut être en cause !
  • Le premier repère est l’âge de la grossesse. Généralement, une toxémie gravidique ne s’exprime qu’à partir du 5ème mois.
  • Dans tous les cas une protéinurie supérieure à 300 mg/24 heures et/ou une uricémie augmentée sont révélatrices mais une normalité n’exclut pas le diagnostic à 100 %.
  • L’échographie avec doppler des artères ombilicales et utérines est l’examen signicatif et le plus précoce; avant le retard de croissance. Il permet d’en prédire la survenue.

VIGILANCE ET REPOS
La découverte d’une toxémie gravidique fait redouter les complications du 3ème trimestre : crise d’éclampsie, mort foetale, CIVD, hématome rétroplacentaire et déclenche le seul traitement possible : la césarienne en urgence !
Le repos est dans la majorité des cas le seul traitement suscepetible de prévenir ou de retarder l’heure des complications.
Surveillance Clinique Outre la TA, le poids la recherche d’oedème ( ++ mains et face ) et elle nécessite la collaboration de l’obstétricien ( Monitoring, Sage femme à domicile, Echographies, Hospitalisation,… )
Le traitement ( cf infra) n’est instauré que si la TA dévient menaçante pour la mère : > 16/9.
Il est important de notifier aux parturientes de ne pas instaurer un régime sans sel ( comme le Grand Père !!!)
Il peut être conseillé l’achat d’un tensiomètre

PRE – ECLAMPSIE
Des signes cliniques imposent l’hospitalisation d’urgence.
La patiente et son entourage doivent en être informés ++ et immédiatement contacter le MG, l’obstétricien voire le SAMU

  • Douleurs épigastriques en barre
  • Céphalées, obnubilation
  • Phosphènes, accouphènes

A l’examen, tous les signes de toxémie sont en augmentation ( TA, Uricémie, protéinurie, oedèmes)

L’ECLAMPSIE Le traitement de l’éclampsie ne sera pas traitée ici

ET APRES…. Sauf anomalies, aprés l’accouchement, l’enfant bénéficie de la même surveillance que n’importe quel NNO.
Pour la mère, il convient de contrôler la TA pendant 3 mois. Si elle ne baisse pas, outre le traitement, une recherche étiologique doit être envisagée
Lors des futures grossesse l’administration systématique de 100 mg/J du 3ème au 8ème mois améliore significativement le poids des bébés à la naissance.
Pathologie de la première grossesse, généralement les suivantes se passent mieux et même peuvent être normales.

LE TRAITEMENT
Selon le CRAT, le traitement de l’hypertension artérielle gravidique repose sur l’aspirine à faible dose, dès le début de la grossesse
Entre 14 et 16 on ne traite pas mais la surveillance est renforcée
TA > 16/9, le traitement est instauré mais la baisse de TA doit être progressive.
…..* Des centraux en première intention : CATAPRESSAN, ALDOMET
…..* Des Béta-bloquants
…..* Des inhibiteurs calciques (LOXEN,etc ….
Rappel: Diurétiques et IEC sont contre-indiqués

    COURTOISIE HOPITAL DE BOURDON.

CA ALORS!

13 mars, 2009

 

 

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c’est un Suisse qui va au domicile d’un de ses collègues de travail (Suisse lui aussi). Il tombe sur sa femme: Bonjour Martine, Serge est là? Non , pas encore rentré, viens rentre Michel… et voilà Michel qui rentre.Oh Martine tu es très belle, montre-moi un sein je te donne 100 francs (ce sont des Suisses pauvres…). quoi mais tu es fou, 100 francs, pour voir ? Après une réflexion, elle se dit que finalement ça ne fera aucun mal et il n’y touchera pas, elle lui montre un sein. hhhaaah aaaah c’est très beau merci Martine, tiens 100 francs au bout d’un moment: Martine, montre moi les deux seins je te donne 200 francs, tiens regarde 200. tu es fou…, tu ne touchera pas? promis, je regarde de loin si tu veux. Ok, . et elle lui montre les deux seins woouuaaawww,C’est très très beau. au bout d’un moment ça recommence mais cette fois ci il touche aux seins et il laisse 1000 francs. Et puis finalement, la belle n’étant pas si farouche que ça, il lui propose la totale pour 2000 francs (suisses bien sûr). non impossible répond Martine, d’ailleurs tu n’a pas ces 2000 francs tiens voilà regarde, prends-les et accepte… et ça marche. À la fin il arrange sa tenue, et part très content… Une heure après, Serge le mari arrive Bonjour, chérie, ça va ? Oui oui chéri ça va merci (les hypocrites tout de même) et toi? Alors il est venu Michel ? Michel , eh bien ,…. Alors il est venu oui ou non, pourquoi tu perds ton souffle comme ça bon dieu? Il t’a donné ma paye ou non?
  HOPITAL DE BOURDON

GLANDE MAMMAIRE

13 mars, 2009
Glande mammaire
                                                                                                 LES SEINS

 

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Définition

c’est une glande annexée à la paroi antérieure du thorax. On la décrit chez la femme en période d’activité génitale. Ce tissu glandulaire existe aussi chez l’homme et chez l’enfant mais de façon réduite. Il se développe à la puberté mais involu à la ménopause.

Limites

plan profond : 3 muscles : grand pectoral sur lequel glisse la glande mammaire , petit pectoral et sous clavier
plan superficiel : fascia superficialis, peau. Le fascia superficialis s’arrête avant la région mamelonaire qui constitue la limite antérieure et superficielle avec l’aréole.
Limite supérieure : 2 ou 3ième cote
extrémité inférieure : 6 ou 7ième cote

Description

Forme générale variable, le plus souvent conique arrondie
Aréole : sommet de la glande mammaire au niveau du 4ième EIC : région arrondie, pigmentée, se continuant avec la région cutanée sans limite nette.
Mamelon : partie centrale et surélevée de l’aréole ou l’on trouve l’ouverture microscopique de 10 à 15 canaux galactophores qui assurent en cas d’allaitement l’évacuation de la sécrétion lactée.
Glande de Mogani : partie de la peau grenue de l’aréole : glandes cutanées et sébacées qui s’hypertrophient à la grossesse et prennent alors le nom de tubercule de Montgomery.
Sillon sous mammaire reste fixe.

Moyens d’amarre

supérieur : fascia superficialis et ligament suspenseur du sein : travée fibro-glandulaire
inférieur : épaississement plus net de ces travées va tirer la peau en profondeur : sillon sous-mammaire

Constitution

La glande mammaire présente 10 à 15 lobules chacun drainé par 1 canalicule qui présente une petite dilatation : sinus galactophore avant de s’aboucher au mamelon. Ces canaux assurent la sécrétion lactée : canaux galactophores.
Le tissu glandulaire est cloisonné par des travées fibreuses : cloisons conjonctives provenant du fascia superficialis
En dehors du tissu glandulaire, la glande mammaire est remplie de tissu graisseux.
Au niveau de l’aréole, il existe des fibres musculaires lisses : muscles sphinctériens périalvéolaires qui contrôlent la fonction excrétrice du sein au moment de la lactation

Vascularisation

Richement vascularisée

Artères

  • branches supérieures venant de l’artère subclavière
  • 1 branche directe de l’artère axillaire
  • rameaux latéraux de l’artère thoracique externe
  • rameaux médiaux perforants les EIC de l’artère thoracique interne
  • rameaux perforants des artères IC en regard de la glande mammaire

Veines : parallèles au système artériel : même nom Forment un cercle anastomotique périmamelonaire et périaréolaire : augmente chez la femme enceinte et en période de lactation.

Système Lymphatique
Le sein est divisé en 4 cadrans :

  • 2 cadrans externes vont être drainés ver le dehors. On trouve des lymphocentres le long de l’artère thoracique externe puis le courant remonte vers le creux axillaire : ganglion de Sorgius pour finir dans le ganglion sus claviculaire.
  • 2 cadrans internes ont leur lymphocentres dans la profondeur : gravité des tumeurs, car dépistage difficile : drainage sous le sternum par ganglion intrathoracique annexés à l’artère thoracique interne . Le courant lymphatique rejoint ensuite le relais sus claviculaire

Innervation

Rameaux nerveux du plexus cervical superficiel C2 à C4 _Rameaux perforants des nerfs IC (2,3,4,5 plus ou moins)

Pathologie

cancer du sein : signe rétraction du mamelon par interposition avec le tissu glandulaire
manoeuvre de Tilliaux : vérification de la mobilité de la glande vis-à-vis du grand pectoral
signe de la peau d’orange : rétraction en profondeur de la peau : la tumeur à envahit les travées fibreuses.
Observation des relais ganglionnaires : région creux axillaire et sus claviculaire
Traitement ablation du sein et lymphocentre : gros bras
L’extension du cancer peut se faire par voie lymphatique et sanguine : métastase
Notion de prolongement axillaire du sein

 

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                          COURTOISIE HOPITAL DE BOURDON

GLANDE MAMMAIRE dans ANATOMIE HUMAINE empty
 

ALLAITEMENT MATERNEL

12 mars, 2009

 

 

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Allaitement maternel

L’Unicef et l’OMS recommandent de soutenir les mères qui allaitent

L’Unicef, l’Alliance mondiale en faveur de l’allaitement maternel et l’Organisation mondiale de la santé ont recommandé que les mères qui allaitent soient davantage soutenues.

L’allaitement maternel améliorerait les chances de survie chez l’enfant, notamment pendant les six premiers mois de la vie, ont affirmé ces organisations à l’occasion de la Semaine mondiale de l’allaitement maternel. L’allaitement maternel est « un outil essentiel pour améliorer la survie de l’enfant » et l’allaitement exclusif ausein pendant les six premiers mois de la vie « permettrait d’éviter jusqu’à 13% des décès des enfants de moins de cinq ans dans les pays en développement », a indiqué la directrice générale de l’Unicef, Mme Ann M. Veneman.

L’allaitement exclusif au sein pendant les six premiers mois de la vie « réduit la mortalité infantile liée à des maladies de l’enfance courantes et à la dénutrition ».Le lait maternel « peut réduire le nombre de décès causés par des infections respiratoires aiguës ou des maladies diarrhéiques, deux des principales causes de décès chez l’enfant ou autres maladies infectieuses », a-t-on ajouté.Il a été relevé, dans ce contexte, qu’en dépit des progrès réalisés pendant les 15 dernières années, 38% seulement des bébés de moins de six mois sont nourris au sein dans le monde en développement.

L’Unicef a précisé que des études récentes ont démontré que les mères allaitent « plus longtemps »,lorsqu’on les a instruites sur la question et que d’autres études ont prouvé que les conseils et l’appui psychosocial dans les établissements de santé ont permis d’augmenter le nombre de mères qui commencent à allaiter dans l’heure qui suit l’accouchement. La Semaine mondiale de l’allaitement maternel est célébrée depuis 1992 par l’Unicef et ses partenaires dans 120 pays.Son objectif est d’encourager l’allaitement exclusif au sein pendant les six premiers mois de la vie.

Courtoisie HOPITAL DE BOURDON
 

LES REGLES D’OR DE l’HYGIENE DENTAIRE

12 mars, 2009

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Les règles d’or de l’hygiène dentaire

Les caries et les maladies des gencives responsables de pertes dentaires et de soins douloureux et onéreux peuvent être prévenues par une hygiène quotidienne relativement simple. N’hésitez pas à demander conseil à votre dentiste.

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Même si nous sommes aujourd’hui plus respectueux de notre hygiène dentaire, quelques progrès sont encore possibles. Quels sont les règles indispensables à une bonne santé dentaire ?

Les dents, tu te brosseras après chaque repas

La plaque dentaire, dépôt blanchâtre où prolifèrent les bactéries, sont à l’origine des caries et des inflammations de la gencive. Comme elle se reconstitue en quelques heures, il est indispensable de l’éliminer par un brossage au minimum biquotidien. 

Une brosse à dents à poils souples, en nylon, tu choisiras et la chang eras tous les trois mois

Une brosse à dent dure risque de blesser les gencives et d’abîmer l’émail des dents. Une brosse à dents usée n’est plus efficace. Les brosses à dents électriques peuvent être avantageusement utilisées, à condition d’en changer régulièrement l’extrémité.

La bonne technique, tu utiliseras

Poser la brosse à dents inclinée à 45° à cheval sur les dents et la gencive et brosser en même temps les dents et la gencive, haut et bas de la mâchoire séparément, en allant de la gencive à la dent, avec un mouvement de rotation, pendant trois minutes.

Le brossage, tu compléteras par le fil de soie

L’utilisation d’un fil de soie dentaire, en complément du brossage permet d’éliminer la plaque dentaire sur les faces latérales des dents. Pour les personnes ayant les dents déchaussées ou des prothèses qui laissent des espaces inaccessibles à la brosse, il est important d’utiliser des bâtonnets ou des brossettes inter-dentaires; pour éliminer la plaque dentaire à la base des dents et stimuler la gencive. Les appareils à jet sont également utiles dans ces cas pour éliminer les débris alimentaires et masser les gencives.

Le dentiste, tu consulteras annuellement

Une visite annuelle chez le dentiste permet de détecter à temps des caries débutantes et sera l’occasion de pratiquer un détartrage, pour éliminer la plaque dentaire. Deux séances de détartrage sont remboursées par la sécurité sociale. Mais parfois davantage sont nécessaires. Si la plaque dentaire n’est pas détectée à temps, elle se développe en profondeur et forme une poche entre la base de la dent et la gencive, qui risque de provoquer, à la longue, un déchaussement des dents. A ce stade, un curetage sous anesthésie locale est nécessaire. Celui-ci n’est pas remboursé par la sécurité sociale (prix: 69 à 92 €uros par séance).

Attention aux enfants

Les dents de nos enfants sont fragiles et précieuses. Pour les préserver des caries et autres désagréments, voici quelques conseils pour leur garantir un sourire éclatant.

Les sillons dentaires de tes enfants, tu scelleras

A l’adolescence le risque de caries dentaire est particulièrement élevé. Dans 80 % cas, ces caries se développent dans les sillons des molaires. En coulant un film de résine synthétique fluide sur les sillons, il est possible de prévenir ces caries. Ce traitement peut être réalisé dès la sortie des premières molaires. Il est remboursé par la sécurité sociale jusqu’à l’âge de 14 ans.

A l’hygiène dentaire de tes enfants, tu veilleras

Les biberons d’eau sucrée ou de lait laissés au petit enfant le soir dans son lit font des ravages, en laissant se développer plaques dentaires et caries précoces. De même les bonbons sont à proscrire le soir. Chaque fois que possible, il faut préférer des bonbons ou chewing-gum sans sucre.

Des apports supplémentaires de fluor chez la mère, pendant la grossesse, et dans l’enfance peuvent être conseillés par le médecin pour renforcer les dents. Enfin, il est indispensable de faire connaître à l’enfant l’usage de la brosse à dents, dès l’âge de deux ou trois ans.

                                Courtoisie:hopital de bourdon

                                1,angle rue herard et route de bourdon

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HYPERTENSION ARTERIELLE

12 mars, 2009

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De très bonnes nouvelles

L’augmentation du nombre de patients traités pour hypertension

artérielle et l’intensification des traitements et la prise en charge

du risque cardiovasculaire, peuvent être mis en perspective avec la

forte baisse de la mortalité cardiovasculaire constatée en France

(-15 % entre 2000 et 2004).

 

Cette conclusion encourageante clôture le dernier rapport de la

Caisse Nationale d’Assurance Maladie sur la prise en charge de l’hypertension

artérielle.

Le message est fort et conforte celui de l’Organisation Mondiale de la

Santé : par une meilleure application sur le terrain des connaissances de la science et par un meilleur contrôle des chiffres tensionnels

de la population française, nous pourrons encore mieux

allonger l’espérance de vie, tout en préservant sa qualité. Ce

dernier point est essentiel car rien ne sert de vivre vieux si ces années

gagnées sont des années de dépendance ou de handicap.

Là encore, le traitement de l’hypertension artérielle apporte de

bonnes nouvelles. Les études récentes ont montré que la pression

artérielle de vos 50 ans va conditionner l’état de votre

cerveau et la qualité de son fonctionnement pour vos vieux jours.

C’est donc, en particulier pour ceux qui s’interrogent sur l’intérêt de

prendre un traitement quotidien, une excellente raison de le faire, afin

de tirer tous les bénéfices qu’apporte une hypertension artérielle bien

prise en charge.

 

 

Chaque matin, 10,5 millions de Français

prennent un médicament contre l’hypertension

artérielle. Pourtant, près de 20 % des plus de 50 ans

souffrent d’hypertension sans le savoir.

Cette pathologie ne fait que se développer

puisqu’elle touchera 1,5 milliard d’individus dans le

monde à l’horizon 2020.

Négligée, l’hypertension artérielle peut entraîner

des maladies réduisant l’espérance de vie de

plusieurs années : affections cardiaques (infarctus,

angine de poitrine), artérite (obstruction des

artères des jambes), insuffisance rénale qui aboutit

trop souvent à la dialyse mais aussi problèmes

cérébraux graves : accident vasculaire, démence.

L’allongement de la durée de vie s’accompagne

d’une augmentation du nombre de personnes

souffrant de troubles de la mémoire et de

démences.

On estime ainsi qu’il y a actuellement 20 millions

de personnes atteintes dans le monde et que se

chiffre sera multiplié par 4 dans 40 ans.

Un nouveau cas de démence est

diagnostiqué toutes les 7 secondes.

L’hypertension artérielle : une maladie fréquente

à prendre au sérieux

Vous êtes peut-être concerné…

!

L’hypertension artérielle négligée

provoque des maladies cérébrales

L’accident vasculaire cérébral

(ou AVC) provient, le plus souvent,

de la rupture d’une petite artère

dans une zone du cerveau (accident

hémorragique) ou de l’obstruction

d’une artère (on parle alors d’un

accident ischémique). Dans les

deux cas, la zone atteinte du

cerveau ne va plus fonctionner

normalement et provoquer une

paralysie, des difficultés à parler,

voire une perte de conscience.

L’hypertension artérielle négligée

rétrécit progressivement les petites

artères du cerveau et produit des

lacunes (infimes lésions cérébrales).

Leur multiplication dégrade le bon

fonctionnement du cerveau et

aboutit, à terme, à une perte

progressive de ses fonctions

essentielles, comme la mémoire et

le raisonnement.

Plusieurs études ont

récemment mis en évidence que

l’hypertension artérielle

créait un terrain favorable

à la maladie d’Alzheimer

et pouvait entraîner diverses

formes de démence.

Le cerveau est un des organes qui souffre le plus

d’un excès de pression artérielle. Cet excès peut provoquer

des maladies cérébrales.

L’accident vasculaire cérébral

Les troubles de la mémoire

et les démences

!

Aujourd’hui, de nombreux

traitements soignent

efficacement l’hypertension

artérielle. Ils ont démontré leur

efficacité depuis plus de 40 ans.

Le fait de traiter l’hypertension

permet d’éviter l’accident

vasculaire cérébral mais aussi

l’infarctus du myocarde.

Ainsi, la baisse de la pression

obtenue avec le traitement de

l’hypertension permet de diminuer

le risque d’accident vasculaire

cérébral de 50 % environ.

C’est également grâce à ces

médicaments qu’en France,

l’espérance de vie des hypertendus

traités est identique à celle de la

population non touchée.

Les découvertes récentes prouvent

que le traitement de l’hypertension

artérielle est aujourd’hui le seul

traitement reconnu pour prévenir

le risque de démence.

Le traitement de l’hypertension artérielle

protège le cerveau

Une méconnaissance des conséquences

de l’hypertension par les Français

 

1 Comment savoir si je suis hypertendu ?

Dans la plupart des cas, c’est le médecin

généraliste qui assure le dépistage et le traitement

de l’hypertension. Votre médecin référent sera à

même de vous soigner efficacement et de vous

orienter, si besoin est, vers des spécialistes.

Prendre l’avis d’un spécialiste (cardiologue,

néphrologue, hypertensiologue) pourra s’avérer

nécessaire si le traitement n’est pas efficace ou que

des complications surviennent.

Les bonnes questions à se pose

2Puis-je mesurer moi-même

ma pression artérielle ?

On a constaté que les patients pratiquant

l’automesure (en utilisant, chez eux, des appareils

disponibles en pharmacie) se soignent mieux et ont

une pression mieux contrôlée. L’automesure est

utile avant de prendre la décision de débuter un

traitement médicamenteux, en particulier chez les

personnes dont la tension est très variable.

En effet, les chiffres de la pression artérielle varient

au cours d’une même journée, selon les contraintes

physiques ou psychologiques

(ils sont souvent influencés par la seule présence du

médecin !). L’automesure n’est pas conseillée aux

patients anxieux ou d’un tempérament stressé.

3Quel appareil choisir pour

mesurer ma tension ?

Deux types d’appareils d’automesure sont

à votre disposition :

- les tensiomètres positionnés sur le bras :

ce sont les plus fiables et ils sont préconisés par la

plupart des médecins,

- les tensiomètres positionnés sur le poignet :

apparemment plus faciles à utiliser, ils sont d’une

manipulation plus délicate.

Les •••

Les chiffres obtenus peuvent être influencés

par le degré de fléchissement du poignet et la

position de la main par rapport au coeur.

Mesurer sa tension en se croisant les bras est un

bon moyen pour éviter les erreurs.

4Qui peut me conseiller ?

Votre pharmacien vous donnera tous les conseils

nécessaires à une bonne utilisation. Le recours à

l’automesure ne vous dispense pas de prendre très

régulièrement l’avis de votre médecin qui, lui seul,

pourra modifier le traitement en fonction des

chiffres que vous aurez mesurés.

Le •••

5 Puis-je interrompre mon traitement ?

Pour être efficaces, les traitements contre

l’hypertension doivent être scrupuleusement suivis,

tous les jours et sans interruption.

Pour éviter de vous trouver à court de

médicaments, organisez suffisamment tôt vos

rendez-vous chez le médecin afin de renouveler

l’ordonnance et achetez vos médicaments avant de

prendre le dernier comprimé.

Pour les maladies chroniques, les pharmaciens

ont désormais l’autorisation de renouveler une

ordonnance arrivée à son terme, dans

l’attente d’une visite chez le médecin :

cette disposition concerne les

médicaments contre l’hypertension.

 êtrTout savoir sur l’auto-mesure!

J’ai 50 ans et je suis en pleine forme.

J’aimerais pleinement profiter de ma famille et

de mes loisirs lorsque je serai à la retraite.

On vient de me trouver un peu de tension, 16/10.

Je ne ressens rien pourtant. Vieillir ne me fait pas

peur, tant que ma tête suit. Ce qui m’angoisse, c’est

la perspective de finir en chaise roulante, comme

mon père.

Les accidents cardiovasculaires comme l’attaque

cérébrale ne sont pas une fatalité. Il existe

aujourd’hui des moyens efficaces de les prévenir.

Garder une activité physique après 50 ans est

favorable pour prévenir de nombreuses maladies

cardiovasculaires, mais dans votre cas en plus,

prendre un traitement pour faire baisser la pression

artérielle est la meilleure garantie

pour prévenir les maladies que

vous redoutez. Votre médecin

traitant saura trouver la

prescription la plus adaptée

pour que les chiffres se

normalisent. Pour vous, ce sera

moins de 14/9. Attention, les

deux chiffres sont importants !

Le témoignage de Jean-Claude M.

La réponse du spécialiste

1 Traitez votre HTA

L’objectif est de revenir à une tension

aussi proche que possible de la

normale. Pour cela, il faut corriger des

erreurs éventuelles au niveau du mode

de vie, et souvent prendre un

médicament contre la tension que l’on

appelle un antihypertenseur.

2Comprenez l’importance de

traiter votre tension

quotidiennement

On ne sait pas encore guérir l’HTA.

Il n’est actuellement possible que de

faire baisser temporairement les

chiffres tensionnels grâce à des

médicaments antihypertenseurs dont

l’action est de courte durée.

3N’oubliez jamais de prendre

vos médicaments pour la tension

Dans la vie courante, il est bon de

prendre des habitudes liant la prise du

ou des comprimés à des activités

quotidiennes systématiques survenant

toujours à la même heure : brossage

des dents, repas, lecture du journal.

C’est très efficace pour éviter les oublis.

4Prenez-les à heure fixe

D’une part pour créer l’habitude, mais

aussi pour éviter une baisse du taux du

médicament dans le sang en cas d’inter -

valle trop important entre deux prises.

Les 7 conseils

pour bien vivre son hypertension

5Parlez à votre médecin des

éventuels effets secondaires

Tout médicament actif, c’est-à-dire

efficace, a un ou des effets

secondaires. Il est important d’en

parler à votre médecin plutôt que

d’interrompre le traitement de vousmême.

En effet, il pourra peut-être

diminuer les doses ou changer le

médicament.

6Si votre médecin vous le

prescrit, acceptez de prendre

plusieurs médicaments

antihypertenseurs, ou de changer

de traitement

Une association de plusieurs

médicaments peut être nécessaire si la

tension ne baisse pas suffisamment

avec un seul antihypertenseur.

7Adaptez votre mode

de vie à votre pathologie

Mangez peu salé, faites régulièrement

un peu d’exercice physique, essayez de

garder votre calme en toute situation

et arrêtez de fumer !

Ces comportements sont bénéfiques.

 

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LE DIABETE

12 mars, 2009

 

Qu’est-ce que le diabète?

Le diabète peut se définir comme une perte de contrôle à la hausse de la glycémie (sucre dans le sang). Chez l’être humain, une hormone est responsable d’empêcher la glycémie de s’élever dans le sang. Cette hormone s’appelle l’insuline.

Chez les patients souffrant de diabète, deux situations peuvent se produire:

  1. L’insuline est produite par le pancréas. Ce dernier peut diminuer ou arrêter la production de l’insuline. Dans ces situations, la glycémie augmente et la maladie du diabète apparaît.
  2. Dans d’autres situations, il s’agit d’une résistance à l’action de l’insuline au niveau cellulaire. L’insuline est nécessaire pour faire entrer le sucre dans les cellules. Cette résistance à l’action de l’insuline rend celle-ci moins efficace. Alors à ce moment, la glycémie monte et la maladie du diabète apparaît.

Le pancréas

Le sucre sanguin, soit le glucose, est une source principale d’énergie pour l’ensemble des cellules de l’organisme. Lorsqu’il augmente dans le sang, il devient moins disponible et cause ainsi une perte d’énergie globale pour l’ensemble des cellules.

Les symptômes du diabète peuvent se présenter de différentes façons: fatigue, difficulté de concentration, vision embrouillée, soif intense, miction fréquente, faim insatiable, possibilité de perte de poids, possibilité de faiblesse musculaire. Certains de ces symptômes ou l’ensemble de ces symptômes sont présents chez les patients qui souffrent de diabète au début de la maladie. Cependant, certains diabétiques présentent peu de symptômes. La maladie est alors dépistée lors d’un prélèvement sanguin.

Il existe différents types de diabète:

Diabète de type 1: Diabète juvénile

Le diabète de type 1 consiste en une perte de la production par des cellules particulières du pancréas (cellules Bêta ou cellules Langerhans) de l’hormone que l’on appelle l’insuline. L’âge du début peut varier de quelques mois de vie jusqu’à environ 35 ans. Les causes de cette perte de production d’insuline sont encore inexpliquées (virus ??, rejet, allergie). L’organisme du patient diabétique rejette par la formation d’anticorps, les cellules qui sont capables de produire l’insuline. Lors de cette perte de capacité de production d’insuline, le patient présente les symptômes qui ont été nommés ci-haut. Le diabète de type 1 représente 10% des patients diabétiques.

Diabète de type 2: Diabète de l’adulte (traitement du diabète de type 2)

Le diabète de type 2 ou le diabète de l’adulte est un diabète où la perte de contrôle à la hausse de la glycémie est souvent associée à de l’obésité avec une prédominance familiale. Ce diabète résulte du mélange d’une perte d’efficacité de l’insuline, et d’une baisse de sécrétion de l’insuline qui s’installe graduellement. Lorsque ce phénomène se produit, les symptômes mentionnés ci-haut apparaissent.

Diabète de type 3 (autres types):

Le diabète de type 3 est une maladie systémique autre qui apporte une destruction du pancréas. Cette pathologie peut être causée par des pancréatites chroniques, certaines réactions défavorables à des médicaments ou à un défaut familial typique de certains récepteurs responsables de l’efficacité de l’insuline. Il faut noter que le diabète de type 3 est beaucoup plus rare.

  1. Maladies génétiques:
    • Défaut de fonction des cellules Bêtas
    • Défaut de fonction de l’insuline

  2. Maladies du pancréas:
    • Pancréatite chronique
    • Fibrose kystique
    • Pancréatectomie post-traumatique
    • Hémochromatose
    • Néoplasie du pancréas
    • Pancréatopathie fibrocalculeuse

  3. Maladies endocriniennes associées au diabète:
    • Acromégalie
    • Hyperthyroïdie
    • Syndrome Cushing
    • Somatostatinome
    • Glucagonome
    • Aldostéronome
    • Phéochromocytome

  4. Maladies postinfection:
    • Rubéole congénitale
    • Infection à cytomégalovirus

  5. Maladies associées aux médicaments:
    • Vacor
    • Diazoxides
    • Pentamidine
    • Agents bêta 2 antagonistes
    • Acide nicotinique
    • Thiazine
    • Glucocorticoïdes
    • Dilantin
    • Hormones thyroïdiennes
    • Interféron-alpha
    • Diabètes gestionnels

Facteurs génétiques

Diabète de type 1

  • Risque faible: 0,3 % de la population en général;
  • Risque accru lorsque l’un des parents est atteint du diabète du type I: père 6 %,
    mère 2 %;
  • Risque accru lorsqu’un frère ou une soeur est atteint(e) du diabète du type I: 5 %;
  • Risque accru lorsqu’un jumeau identique est atteint du diabète du type I: 34 %.

Diabète du type 2

  • Risque très élevé: 5 % de la population en général, soit 1 personne sur 20;
  • 20 % des personnes de plus de 65 ans sont atteintes du diabète du type 2 et seule la moitié des cas sont diagnostiqués;
  • Risque accru lorsque l’un des parents est atteint du diabète du type 2: père 11,6 %,
    mère 13,9 %;
  • Risque accru lorsque les deux parents sont atteints du diabète de type 2: 28.1 %;
  • Risque accru lorsqu’un jumeau identique est atteint du diabète de type 2: de 60 %
    à 80 %.

                            Courtoisie HOPITAL DE BOURDON

                                                1,angle rue herard et route de bourdon

                                                   Tel:  38712919,34784401

                                                    email:hopitaldebourdondoc@yahoo.fr

VOUS VOYEZ CA?JE L’AI OPEREE!

11 mars, 2009

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Dr QUETANT JEAN RONY

HOPITAL DE BOURDON. 

DEVINEZ CE QUE C’EST?

11 mars, 2009

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Ce Cas a ete opere a l’hopital de BOURDON par les docteurs:

QUETANT JEAN RONY

DOCTEUR LUCAS

ST FLEUR WOODLEY

DOCTEUR BASTIEN,ANESTHESIOLOGISTE.

HOPITAL DE BOURDON,FEVRIER  2009.

CHARTE DE L’HOPITAL DE BOURDON

11 mars, 2009

                                                                                   HOPITAL DE BOURDON

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Hôpital de Bourdon offre des consultations spécialisées en: 

* Chirurgie 

* Gynécologie

  * Pédiatrie

 * Médecine Interne 

A ce service de clinique externe sont également annexés:   

* Un service de sonographie  

* Un service de Laboratoire  

* Un service de Pharmacie 

 * Un service de Hospitalisation     

   et accouchement fonctionnant. 24h sur 24 

 Venez nous voir et  apprecier notre Raison d’être 

L’Hôpital de Bourdon Le plaisir et le connfort de nos services  24/24  

Hôpital de Bourdon

     1re Rlle Herard #1 Tél:3699-1277 / 3871-2919                   

       Que notre  lumière brille par-devant les hommes. 

Vous venez de choisir l’Hôpital de Bourdon, institution de santé spécialisé dans les soins préventifs et curatifs en Chirurgie, Gynécologie, Médecine Interne, Pédiatrie; grâce à nos moyens téchniques performants, notre compétence notre dévouement, nous ferons tout ce qui est possible pour que vous retrouveriez l’équilibre de votre santé.   Afin de rendre votre séjour agréable et satisfaisant, nous méttons à votre disposition  cette brochure intitulée: la charte du malade hospitalisé dans laquelle sont décrits vos droits et devoirs.

                                                                                                                                                                                                                                                    A.- votre hospitalisation nécessite des formalités administratives avant votre admission.

  1) Pour les maladies non assurés un dépôt de garantie est réclamé, ce dépôt est variable en fonction du service, de la chambre et de la durée prévisible de votre séjour. 

2.- Pour les malades assurés, une personne afféctée a cet effet est disponible pour vous indiquer les démarche à entreprendre, en vue de votre admission.           Cependant dans les deux cas (assuré ou non) si votre état nécessite une prise en charge rapide et immédiate, les formalités administratives seront remplies ulterieure-ment. Nous acceptons tous types d;assurances mais nous privilegions les assurances avec lesquelles nous avons des contrats bien définis

  B.- conduite à tenir Durant votre hospitalisation:

  1.- L’hopital respecte vos croyances et vos convictions religieuses. Cependant il covient de vous informer que nous sommes une institution chretienne. 

2.- L’hopital est un espace non fumeur. en aucun cas il n’est pas permis de fumer dans les chambres, les couloirs, les toilettes et même sur la cour de l’hopital.

 3.- Le port d’arme est interdit. Vous pouvez remettre votre arme, si vous en avez une en toute sécurite, à l’administration qui vous la remettra au moment de quitter le centre.  

4.-  Les menbres de votre famille ou vos amis peuvent vous rendre visite aux heures indiquées:      Matin:  6h30 – 9hres         

 Soir:  4h    - 7hres       Cependant il est permis à une seule                    personne de rester en permanence dans      la chambre avec vous.      Le personnel soignant peut lui demander            de laisser la chambre temporairement,             s’il juge nécessaire. 5.- Le repos est la règle d’or. Pour ne pas nuire à vos voisins, évitez les conversations trop bruyante réglez vos téléphones portables sur vibration, utilisez avec modération les appareils éléctroniques, tels: radio, télévision etc.

 6.- Votre dossier médical est géré de manière confidentielle. Vous avez le droit d’en être informé et votre famille également, sauf en cas d’opposition de votre part. 

7.- Vous avez le droit de demander l’avis d’un autre  médecin sur l’evolution de votre état de santé. Ce  médecin une fois designé, la diréction médicale sera contente de dialoguer et discuter avec lui, mais en aucun cas il ne pourra consulter diréctement votre dossier. 

8.- Vous avez le droit de laisser l’hôpital avec ou sans consentement de votre médecin traitant. Dans ce cas vous devez signer une décharge administrative et vous quitter de toutes vos redevances financièrs envers l’hôpital et le médecin traitant. 9.- Si votre état nécessite un transfert dans un autre établissement de santé. les raisons vous serons communiquées et votre famille en sera avisée le plus rapidement possible. 10.- Le matériel de l’hopital est couteûx, son entretien éxige beaucoup d’éffort et d’argent. Evitez tout gaspillage, protégez mobilier. Tout matériel brisé, cassé endommagé ou volé, par votre faute sera à votre charge.    

     C.- des formalités administratives sont exigées avant votre depart ou exeat.  

1) Il vous est fait l’obligation de vous acquitter entierement de toutes les redevances financièrs envers l’hôpital et le médecin traitant. Passé outre, les poursuites judiciares seront à votre charge. 

2) l’exeat est éfféctué aux heures d’ouverture de l’administration . il n’y a pas d’exeat le dimanche et les jours fériés.    

 Aimez-vous les uns les autres et faites du bien autour de vous!       

HOPITAL DE BOURDON

 

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